it-revue du web parisienne

Chose promise, chose due, voici, rien que pour vous Lecteurs Adorés, la toute première It-Revue du Web Parisienne!

Rire

Toujours et encore avec l’humoriste préférée des Français, impossible de passer à côté cette semaine, mais on ne s’en lasse pas : la parodie de Florence Foresti de la pub Dior pour le lancement du DVD de son dernier spectacle : Parodie Pub Dior Florence Foresti

Mode Parisienne

Drôle, décalé, complètement Parisien et totalement hype, le Tumblr des Sans Culotte Sans Papier.

Et on va shopper les créations politiquement incorrectes de Noémie et Alex chez Addicted, 29 rue du Temple 75004 ou chez Cailles de Luxe, 15 rue Keller 75011.

Attention, Bobos craquage et addiction garantis!

 

Ondes Parisiennes

Certes, je vous en avais déjà parlé dans un post précédent  et, non, je ne radote pas ! J’adore, tout simplement, cette web radio (en boucle à la maison, je saoule tout mon petit monde, mais je m’en fous !), j’ai nommé…. Faubourg Simone !

Stéphanie, sa créatrice, en a fait « la radio que j’avais envie d’entendre » et, avec ses cinq acolytes, nous concocte playlists et jingles avec une véritable identité à la fois parisienne et pointue. « Radio locale à l’esprit impertinent, gavroche et cabotin », bref, il y en a pour tous les Parisiens !

Cuisine Parisienne

Mon blog  culinaire « Coup de Cœur » de ce mois-ci : Geek and Food.

Collectif de foodingues qui nous font découvrir la cuisine « dans tous ses états » mêlant leurs deux passions : la cuisine et Internet.

Et, preuve que geek et food peuvent faire bon ménage, ils viennent d’éditer leur premier Livre Blanc, à télécharger d’urgence.

Mamans Parisiennes

 Car les Parisiennes sont aussi des mamans comme les autres, qui se demandent, parfois comment et quoi faire pour les anniversaires et autres fêtes de leurs Bambins.

My Little Day est un site marchand qui leur proposent des boîtes (très tendance en ce moment) pour organiser des « partys » en tout genre. Concept original et créatif, qui vole au secours des Mères Débordées que nous sommes. Anniversaires rigolos et succès garanti  avec ces boîtes à thème, cadeaux amusants et objets trouvés aux quatre coins du monde. 

Que la fête commence!

Très bon week-end à tous, Parisiens et Parisiennes de mon cœur!

MA NOUVELLE VIE DE PARISIENNE

 Non, non, lecteurs adorés, je ne vous ai pas oubliés !

J’ai, simplement, eu à régler moultes choses et autres changements ces dernières semaines.

Alors ce post ne sera ni « L’Humeur du Mardi », ni un « Bon Plan Parisien » mais juste une tranche de ma vie de Parisienne, comme on en connaît tous et toutes.

Allez, je vous fais rêver un peu ?

Voici la liste non exhaustive de ce qui m’a tenu loin de vous.

Voiture emboutie, bon.

Classée épave et partie à la casse, snif.

Recherche active d’un nouveau moyen de transport.

Trouvé (yes !) mon nouveau destrier (je vous en parlerai dans un prochain post qui pourrait s’intituler « Les Joies du deux-roues à Paris).

Admiré (sic) le courage qu’ont certains pour se mettre à six contre un pour agresser et racketter mon fils (12 ans, agresseurs 16, sans commentaire).

Consolé ma Chère Tête Blonde, en lui expliquant que, oui, ce n’est pas juste, que, non, ce n’est pas de sa faute, tout en luttant contre une envie de meurtre (instinct bassement parental), ce qui, je ne vous le cache pas, m’a demandé quelques efforts assez violents afin de conserver une certaine maitrise de moi-même.

De nombreux (et longs) entretiens téléphoniques avec ma chère Caisse d’Assurance Maladie (perte de dossier, je en passe et des meilleurs), dossier toujours aux abonnés absents à l’heure où je vous parle !

Passé des entretiens (enfin).

Décroché un nouveau (super, top, génial, d’enfer, aucune mention à rayer) job. YES.

Fêté le nouveau job (beaucoup, burp).

Démissionné du job actuel. Joie.

Comme vous pouvez le constater, beaucoup de changements se profilent sur la ligne de mon horizon parisien.

Et j’avais envie de partager cela avec vous.

On le sait, je le sais, vous le savez, la roue finit toujours par tourner. C’est le sens de même de la vie.

Cependant, je dois reconnaître avoir connu ce que certains pourraient appelé une longue traversée du désert. 

Une bonne année de merde même, pour parler franchement.

Alors quand les choses commencent à, enfin, bouger dans le bon sens, eh bien ça fait du bien par où ça passe!

Je pourrai même reprendre un slogan connu et souvent moqué ces derniers temps (parfois à juste titre, mais bon, ne nous égarons pas !): « le changement, c’est maintenant » !

En tout cas, ça l’est, pour moi. 

Et, au risque d’énoncer quelques banalités, ces coups durs et autres contrariétés m’ont permis, non seulement d’apprécier les bonnes choses (qui finissent toujours par arriver, voire plus haut le principe de la roue qui tourne) mais aussi et surtout, aurais-je envie de dire, de mesurer la chance que j’ai.

Car, au-delà de  mon naturel optimiste (qui, je le reconnais, commençait à s’émousser quelque peu), je fais partie de ces personnes chanceuses car très entourée. Et soutenue.

Je me souviens et je veux, officiellement, les remercier ici et maintenant, de longs échanges téléphoniques, en pleine période creuse, avec mes amies, vous savez ces Bonnes Copines, qui ont toujours cru en moi, qui se sont inquiétées, sans jamais trop le montrer, qui ont toujours été là. Alors les Filles, merci. Pour tout.

J’arrête avec la minute-émotion, pour un peu, on se croirait à la cérémonie des Oscars!

Bref, je commence une nouvelle tranche de ma vie de Parisienne.

Et, pour fêter cela, je vous prépare une chouette « Revue du Web » pour ce week-end !

PARIS SOUS LA PLUIE

Le dicton du jour:

Week-end pluvieux, week-end heureux.

On retrouve la semaine prochaine pour l'Humeur du Mardi (parce que le lundi, c'est pourri!) et, aussi, en préparation dans les tuyaux, une nouvelle rubrique: "La (it)-revue du web", bon week-end à tous!

ON RECYCLE

En Octobre, s’achève la manifestation qui consacrait, depuis le mois d’Avril,  Helsinki en tant que capitale mondiale du Design. Le clou de cet événement était le fameux Pavillon, conçu par l’architecte finlandais Teemu Kurkela et construit entièrement avec le composite bois-plastique produit par la compagnie forestière UPM.

Petit topo sur le Pavillon.

Conception ambitieuse, la structure composée de 25000 bardeaux, recouvrant une surface de 3700m2, offre aux visiteurs un concept architectural élégant avec son aspect marbre blanc et, surtout, qui colle parfaitement au thème du WCD : « Une meilleure ville pour une meilleure vie ».

Cette construction durable met en application les préceptes d’UPM ProFi : améliorer les conditions de vie tout en diminuant l’impact sur l’environnement. Leur composite prend  en compte une approche complète du cycle de vie du produit  grâce au recyclage de papier et de plastique et réutilise, pour sa fabrication,  près 20 tonnes de déchets qui, du coup, ne pollueront pas notre planète.

Tout cela touche (forcément) notre fibre d’éco citoyen, mais n’est pas UPM qui veut, alors comment s’y prend-on, à notre petite échelle, pour recycler nous aussi ?

On prend exemple et on s’inspire.

La déco récup fait de plus en plus d’adeptes. Soit pour des raisons de budget serré, soit par envie de donner un nouveau souffle à des meubles dont on s’est lassé, soit parce qu’on aime bricoler, créer et customiser.

Les grandes enseignes du bricolage françaises connaissent un afflux croissant de « bricoleurs du dimanche », amateurs certes, mais qui n’hésitent pas à se retrousser les manches quand il s’agit d’aménager son intérieur.

De même, les brocantes et autres vide-greniers sont pris d’assaut, chacun à l’affût de la bonne affaire, du petit meuble à rénover, de la chaise à patiner ou du cadre à restaurer.

Alors que pouvons-nous recycler ?

A peu près tout.

Des caisses de vin en bois qui fera, une fois repeintes et fixées au mur de jolies niches où ranger vos livres et vos bibelots.

On peut customiser sa table basse Ikéa et en faire une pièce unique.

On peut créer, à partir de palettes de bois (à récupérer au marché et gratuitement, en plus), tables, étagères ou même un vaisselier pour les plus bricoleurs d’entre nous.

Il suffit de laisser libre cours à son imagination.

Et pour celles ou ceux qui auraient besoin d’idées et de conseils voici quelques blogs pleins de créativité.

Idée Créative une mine d’inspiration pour recycler tout ce que vous voulez, ludique et inventif.

Ma Bulle des tutoriels très utiles, des détournements audacieux.

Carotte Bricole des créations détournées, pleines d’enthousiasme et originales.

Notre Sweet Home pour se faire un Chez Soi agréable sans se ruiner. Le plus : les posts sont organisés selon les pièces de la maison.

A vous de jouer !

WEEK-END GOURMAND A PARIS

PARIS SOUS LE SIGNE DE LA GASTRONOMIE

 La bise étant venue (tiens, cela me rappelle une certaine fable), faisons fi des convenances « light » de notre été et célébrons comme il se doit la venue de l’automne (oui, ça y est, on y est bien, nul doute possible sous la petite pluie persistante de ce mois d’Octobre) en ravissant nos papilles.

Bien sûr, il ne s’agit pas là de s’empiffrer en oubliant qu’il y a peu, tous les magazines de la presse féminine nous exhortaient à prendre soin de notre silhouette, un marronnier qui leur est cher et dont ils usent et abusent à tout moment de l’année (comprenez : quand ils n’ont rien d’autre à traiter, ce qui, bizarrement, semble être souvent le cas), mais je m’égare, revenons à notre week-end aux p’tits oignons (week-end gourmand, p’tits oignons, je reste dans la thématique)…

 Demandez le programme !

Pays de ce doux breuvage, nectar des Dieux (hum !) qu’est le vin et avec une gastronomie classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, la France est fidèle à sa réputation de fin gourmet en ce mois d’Octobre et les Parisiens (et les autres) pourront se régaler tout le week-end.

La Fête des Vendanges qui a eu lieu à Montmartre le week-end dernier a, si vous me passez l’expression, ouvert les hostilités.

Et on a enchaîné avec, cette semaine, La Semaine du Goût.

La 23ème édition de la Semaine du Goût se déroule du 15 au 21 Octobre. Son objectif est clair : « ranimer notre goût pour le goût » avec pour mot d’ordre 2012 : « Le goût à tous les coups ».

Il n’a échappé à personne que la cuisine, et tout ce qui s’y rapporte, a le vent en poupe, tendance qui se confirme de plus en plus. J’en veux pour preuve toutes les émissions de télé qui lui sont consacrées (non, je ne me lancerai pas dans un grand débat « Pour ou contre Master Chef », je ne fais que constater), les sites et blogs culinaires qui explosent carrément sur la Toile, la presse, les boutiques et autres épiceries fines qui connaissent un regain d’activité et, tout dernièrement les box culinaires. Vous l’aurez compris, nous nous sommes mis aux fourneaux.

La Semaine du Goût propose ateliers, parcours, initiations, dégustations et cours pour nous permettre d’améliorer notre hygiène alimentaire et ça tombe plutôt bien quand on a vu, au cours de ces dernières semaines, toutes ces études (catastrophiques) sur l’obésité ou encore la mal-bouffe de nos adolescents. Elle met l’accent, également, sur comment bien cuisiner et bien manger avec un petit budget, allant ainsi à l’encontre des idées qui voudraient que bien manger coûte forcément cher et ce n’est pas négligeable en ces temps de crise et de restrictions budgétaires en tout genre.

Un parcours à faire en famille ou entre amis pour se mettre en appétit.

Pour ceux qui auront cravaché au bureau toute la semaine (chose étrange, n’est-ce pas ?), le salon Cuisinez ouvre ses portes ce weekend Porte de Versailles et ce jusqu’à dimanche soir.

Vous y retrouverez toutes les chefs qui font la gloire des différentes émissions de cuisine diffusées sur M6. Et, je dois le reconnaître, j’avais un peu peur de me retrouver en plein milieu d’une immense opération de promotion, cependant je dois reconnaître qu’on y passe un bon moment (une fois les aprioris remisés) et qu’il y règne une ambiance plutôt bon enfant et surtout gourmande.

Autour de démonstrations, cours de cuisine, on peut découvrir de (beaux et bons) produits du terroir, s’initier aux nouvelles techniques gastronomiques pour ceux qui ont dépassé le stade « amateur », et permettre à nos Chères Têtes Blondes de se mettre aux fourneaux dans une cuisine qui leur est, exclusivement, réservée.

Et je ne pouvais pas finir ce post « Week-end Gourmand à Paris » sans vous parler du Festival International de la Photographie Culinaire.

Car on mange avec les yeux aussi, oui, oui… Et, là, pour le coup, nos yeux vont en prendre plein les mirettes ! Et nos papilles aussi.

Le thème de la 4^ème édition de ce rendez-vous des milieux de la photographie et de l’alimentation est l’œuf.

« Symbole de naissance, de création, de renouveau, de résurrection, de perfection, d’intégrité, il est tout naturellement incontournable pour les faiseurs de recettes et les créateurs d’image »

Et, cerise sur le gâteau, le parrain de cette année est mon dieu, j’ai nommé : Pierre Gagnaire.

Le Festival s’organise sur différents axes dont une compétition pour photographes professionnels mais, et c’est ce qui nous intéresse le plus ici, propose un Parcours Culturel et Gourmand dans Paris au grand public.

Des expositions dans des restaurants, hôtels, galeries d’art, dans des boutiques ici et là dans toute la capitale. Ainsi que des ateliers de photographie culinaire de studio pour ceux qui veulent s’essayer à passer de derrière les fourneaux à derrière l’objectif.

Papilles, pupilles se régalent le temps de ce week-end gourmand à Paris.

Je n’ai qu’une chose à vous dire : à table !

L’HUMEUR DU MARDI (car le Lundi c’est pourri) #6

CE QUE J’AIME FAIRE QUAND L’AUTOMNE ARRIVE

Dame Nature fait bien les choses, car, à l’approche de l’hiver (à l’automne, donc), l’être humain (moi, nous, vous) opère un doux repli vers son foyer, son « Home Sweet Home ».

Finies les terrasses (ses apéros, le rosé, le soleil), exit les tenues légères, sous peine de choper tous les mots en « ite » (voir post de la semaine dernière) et vive le cocooning automnal !

Cocooner est la version humaine de l’hibernation. Ne pouvant dormir tout l’hiver, nous nous concoctons un nid douillet où il fera bon se réfugier lorsque la bise sera venue (tiens, ça me rappelle une certaine fable, ça !).

La définition du cocooning :

« Attitude qui consiste à se trouver bien chez soi et à ne guère en sortir si ce n’est pour des actions vitales ». Par « vitales », entendez travailler, remplir le frigo (et encore, avec Internet, on pourrait même tout se faire livrer), faire du shopping (pour THE paire de chaussures, je suis prête à braver n’importe quelle tempête, et je ne dois pas être la seule), aller boire des coups (faut pas charrier quand même, on a une vie sociale, bordel !) bref vous aurez compris, à part ces quelques activités qui nous obligent à mettre le nez dehors, à l’automne, on prépare son Chez-Soi.

Les indispensables du cocooning à la parisienne :

Quelques mots en « ment »

Rangement : on classe, on tri, on met dans des boîte, pas très glamour, certes mais vous remarquerez que cette étape fait partie de toutes les bonnes résolutions de la rentrée… Qu’on ne réalise qu’à la disparition confirmée des beaux jours et autre été indien. Forcément, les activités en extérieur étant plus que limitées sous cette petite mais persistante pluie, ne reste plus qu’à s’atteler à la fameuse liste des bonnes résolutions « S’il pleut ce week-end, je range mon bureau », du vécu.

Aménagement : plus agréable que le précédent, je vous l’accorde, et c’est, d’ailleurs ce que je préfère faire, rendre mon Home Sweet Home encore plus chaleureux, on change un meuble, on customise une étagère, on repeint un meuble, d’ailleurs j’ai trouvé pas mal d’idées ici et là…

Quelques-uns de mes favoris pour le plaisir des yeux et pour s’inspirer :

Décocrush un blog ultra complet, presque un site, plein de bonnes idées (customiser soi-même vos meubles Ikéa par exemple)

So Déco le blog d’une vraie amoureuse de la déco, également coach à ses heures, pour une déco à la fois chic et vintage.

My DZ je suis carrément fan, des idées, des Do It Yourself accessibles et réalisables pour le commun des mortels, incontournable !

Une bougie qui sent bon 

Pour ma part, je suis une adepte (qui ne l’est pas ?!?) de Dytpique, le must parisien en matière de bougies mais j’aime beaucoup aussi  Durance  (moins cher mais tout aussi efficace) qui fait des bougies artisanales qui embaument et plus particulièrement leur dernière fragrance « Cèdre argenté ».

Une bonne playlist 

Le dernier album de Diana Krall, Glad Rag Doll, parfait pour une soirée au coin de la cheminée (si vous n’en avez pas, fermez les yeux, et vous y êtes).

Une web-radio décalée et très Titi Parisien comme on les aime Faubourg Simone.

Une bonne soupe 

A faire soi-même (n’hésitez pas à venir partager vos recettes avec nous) ou, pour les Parisiennes qui n’ont pas toujours le temps de se mettre aux fourneaux en semaine, allez vous approvisionner au Bar à Soupes, elles sont faites maison et selon les saisons, on peut les emporter, bref tout ce qu’on aime.

Un bon bouquin

De bons amis

J’aime bien l’automne. 

L'HUMEUR DU MARDI (car le lundi c'est pourri) #4

BALADE, JE SUIS BALADE …

Et ben, voilà, à peine sommes-nous passés de l’été à l’automne (je rappelle que c’était le 21 Septembre, nous sommes aujourd’hui le 25), que c’est la grande déferlante microbienne !

A l’inverse de nos amis les ours et autres mammifères qui hibernent l’hiver (je songe tous les ans à tenter l’expérience), les microbes et autres bactéries, eux, font un petit break l’été, pour revenir à la charge et en force dès que les températures dégringolent (si, si, passer de 25° à peine 10 le matin, ça s’appelle une dégringolade !).

J’en veux pour preuve le foisonnement, depuis ce weekend, des statuts Facebook qui se finissent tous par « ite » (à ne pas confondre avec les « it » des fashionnistas) !

Non, là, ce suffixe est bien moins glamour, car il s’agit de « bronchite », « laryngite » et autre « gastroentérite », oui, je sais, ça fait rêver !

Et, vous l’aurez compris, je ne fais pas exception à la règle.

Les microbes ont sévi chez moi aussi et sont passé à l’attaque.

En résulte un nez bouché (et donc rouge, très joli), un écoulement nasal qui pourrait rivaliser avec le slim (prononcer « slyyyy-me », l’espèce de matière verte et gluante qui ravissait nos enfants quand ils étaient petits, ça donne envie, non ?) et, point d’orgue, une voix qui fait penser, non pas à celle de Jeanne Moreau ou encore Fanny Ardant, mais plutôt à Jojo le Travelo (mes copines verront très bien de que j’cause). Ajoutez à cela, un perpétuel grelottement sournois et insidieux et surtout cette sensation d’être totalement « à la ramasse ».

Que faire pour survivre à cette co-habitation microbienne forcée (à part aller chez le médecin et se soigner, bien sûr !) ?

Pour ma part, je pars du principe que vu que les bactéries me veulent du mal (forcément), je décide de contrecarrer en me faisant du bien (logique jusque là).

Donc, je me fais plaisir.

Une bonne soupe (ça tombe bien, c’est le début de la saison). Et si vous êtes trop atteintes pour la faire vous même, celles-ci ont ma préférences : Soup Juice et Zoé Bouillon (qui livre à domicile).

                                                                  

  

Un bon gros gilet bien douillet.

Un bon bouquin.

Un bon film. Ou une bonne série. Perso, je vous recommande Homeland (non, je ne fais pas de pub pour la chaine cryptée qui la diffuse actuellement, mais cette série est vraiment top !).

(Je suis à deux doigts du feu de cheminée, mais, bon faut pas abuser, nous ne sommes que le 25 Septembre)

Un bon thé bien chaud. Mes fournisseurs officiels sont Kusmi (un classique) et Néo T, un coup de cœur découvert il y 2 ans, à Montmartre.

                      

Ecouter en boucle le dernier album de Cat Power (idem, pas très original mais tellement bon).

Et regarder par la fenêtre la pluie tomber en se disant que rien ne vaut un bon « Home Sweet Home ».

Sur un dernier « Atchoum ! » bien baveux (beurk), je vous laisse pour aller appliquer ce programme à la lettre.

DESIGN ET ECO RESPONSABILITE

Force est de constater que la tendance majeure qui s’affirme dans toutes les manifestations liées au design et à l’habitat à Paris, comme dans toute l’Europe, est l’éco responsabilité.

Qu’est-ce que le design éco responsable ?

Il se doit d’apporter des solutions aux différentes problématiques sociétales dans notre quotidien liées à l’environnement.

Son rôle est de réduire les répercussions négatives des produits ou des constructions sur notre planète.

Opter pour un design éco responsable c’est faire le choix d’une une pratique quotidienne qui tient compte des valeurs environnementales, telles que la recyclabilité des objets ou des matériaux.

Le design, tout comme la déco, ne se contentent plus de suivre une tendance, ils portent cette démarche de déco écolo, chic et éco responsable, utilisant pour leurs créations  bambou, chanvre, résine, bois provenant de forêts gérées durablement, chutes de bois recyclés ainsi que des composites (la compagnie UPM démontre cette volonté de produire à partir de recyclables, adhérant parfaitement aux enjeux majeurs d’éco-citoyenneté).

Les grandes villes européennes mettent à l’honneur le design éco responsable.

Que ce soit à Paris, lors de la Paris Design Week qui s’est tenu la semaine dernière, le salon Maison et Objet de cette rentrée ou encore Helsinki, élue Capitale mondiale du Design 2012, les valeurs du respect et de la protection de l’environnement s’affirment dans tous les domaines.

L’édition parisienne de la semaine du design a permis de mettre en évidence le lien étroit entre architectes et designers et, si leurs créations diffèrent, leurs desseins se rejoignent pour apporter autant de témoignages des engagements de notre époque que des créations qui répondent à ces évolutions socio-culturelles.

Helsinki, World Capital Design 2012, a tenu à mettre en œuvre un projet où le design fait partie intégrante et du quotidien et du paysage urbain, « Le design intégré à la ville ».

Différentes constructions, toutes éco responsables et recyclables, telles que le Pavillon, le fleuron de la compagnie UPM Biofore , construit exclusivement à base de matériaux composites répond en tous points aux objectifs des organisateurs (nous vous en parlerons plus en détails prochainement, promis !) permettent à tous les visiteurs de découvrir un design engagé pour la protection de l’environnement.

La capitale du design 2012 se veut une véritable vitrine « à ciel ouvert » du design finlandais.

De Paris à Helsinki, le design s’est ancré dans une démarche éthique, chic et écologique. 

ET SI ON NE FAISAIT RIEN CE WEEKEND ?

Ou l'art de buller.

Question rituelle en ces fins de semaines parisiennes : « Et toi, tu fais quoi ce weekend ? »

 Je buvais un verre, hier, avec une amie en terrasse, au sortir d’une journée de boulot chargée et avant de m’attaquer aux courses, de rentrer superviser les devoirs, préparer le dîner, la routine, quoi, et, invariablement, nous en venons à parler de notre programme du weekend.

Réponse de mon amie : « Pour ma part, je rêve de ne rien faire ! »

J’ai marqué un temps d’arrêt, en me disant qu’il est vrai que, parfois, ne rien faire du weekend pour couper franchement avec le rythme trépidant de nos semaines serait le luxe extrême.

En me penchant un peu plus sur la question, j’en suis venue à me demander COMMENT faire pour ne rien faire, un comble tout compte fait !

Car, si on y réfléchit bien, ne rien faire nécessite une sacrée organisation.

Bien sûr, je ne parle pas procrastination, non, loin s’en faut, il s’agit de choisir délibérément de suspendre toute activité contraignante peu ou prou, le temps d’un weekend.

Tout d’abord, il convient de s’interroger sur à quoi peut ressembler ce que l’on pourrait appeler un « weekend type » d’une Parisienne (je joue dans ma catégorie : encore trentenaire, avec progéniture etc.).

On connaît toutes ces fins de semaine où l’on croit qu’on va pouvoir se reposer mais qui, en fin de compte, ressemblent (comme tous les autres jours d’ailleurs) à s’y méprendre au parcours du combattant.

Entre les activités sportives des uns et des autres, un petit tour au marché (remonter avec les sacs qui vous garantissent une élongation des bras).

Enchaîner sur le déjeuner (« Vite, Maman, j’ai rendez-vous avec des copains pour aller au parc/au ciné/jouer à la Play Station ou autre »).

Ranger quelque peu votre intérieur (2 ou 3 lessives, hop, hop, hop, et autant de repassage, un coup d’aspi, de poussière).

Rejoindre vos copines, se plaindre qu’ « on n’a pas ar-rê-ter ».

Rentrer, retrouver votre progéniture… avec un copain, « dis, Maman, il peut dormir à la maison ce soir ? » ;

Retourner faire les courses.

Sauter dans la douche et mettre les pizzas au four (et non l’inverse), se préparer, ne pas trouver un taxi, arriver en retard au resto et s’écrouler sur sa chaise…

Et le dimanche se déroule sur le même rythme, activités sportives en moins mais tête dans le c** en plus et sous aspirine.

A ce rythme-là, on est, parfois, presque contente de voir arriver le lundi matin ! Non quand même pas.

J’en reviens donc à ma question première : « comment faire pour ne rien faire ? »

Demandez le programme du non-programme !

Mesdames, il vous faut vous organiser. Et vous débarrasser de tout complexe, quelqu’il soit. 

Rien, ni personne ne vous empêchera de ne rien faire ce weekend en toute bonne conscience, non mais !

Faire vos courses, toutes les courses pour ne pas être prises au dépourvu dans n’importe quelle situation, la veille, Paris regorge de magasins ouverts jusque tard pour celles qui ont des horaires de ministres.

Privilégier les brunchs et autres apéros ou dîners en terrasse (il devrait faire beau ce weekend) ou encore mieux faites-vous inviter chez des amis (c’est lâche, je sais).

N’ayez aucun scrupule à faire plaisir à vos enfants avec un peu de junk food, ils survivront.

Trouvez-lui un copain… chez qui il pourra aller dormir (grasse mat’ du dimanche assurée).

Procrastinez sans vergogne et remettez à plus tard vos tâches ménagères et autres corvées.

Et, surtout, surtout, savourez tout ce temps que vous avez !

Bullez, bouquinez, allez flâner, refusez toute invitation à quelque dîner ou autre que ce soit avant 20h30.

Ma grand-mère disait toujours : « Qu’il est doux de ne rien faire quand tout s’agite autour de vous ».

Et, le temps d’un weekend, elle avait raison.